
Retour sur notre soirée de fin d’année dans une ambiance fun au FDI Stadium! Nos #Acelytes se sont replongés dans cette riche année 2022 au travers de stands ludiques et colorés ! Tous prêt pour l’aventure 2023 !
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-Selon une étude du BCG, 55 % des échecs de projets de migration sont dus à une préparation insuffisante. Autrement dit, négliger la phase amont revient à compromettre sérieusement les chances de succès. Pour éviter ce problème, il est essentiel de bien comprendre les enjeux du projet et de le cadrer avec précision dès le départ.
Voici quelques questions clés à se poser :
Pourquoi changer d’outil ? Les raisons peuvent être multiples : obsolescence (fonctionnalités limitées, outil non maintenu), performances insuffisantes, manque de scalabilité ou encore coûts devenus trop élevés.
Quels sont les objectifs de la migration ? Cela peut aller de l’amélioration de l’efficacité des équipes à une meilleure visibilité sur les données pour des décisions plus éclairées, en passant par la conformité réglementaire.
Qui impliquer dans le projet ? Une migration touche souvent plusieurs équipes. Identifier les bons interlocuteurs dès le lancement, et savoir à quel moment les mobiliser, est déterminant pour la réussite du projet.
En définitive, la préparation doit permettre de :
– Cartographier précisément l’existant
– Clarifier les attentes (souvent différentes selon les acteurs)
– Anticiper les points de vigilance pour éviter toute interruption de service
– Evaluer le niveau de maturité data de chaque partie prenante.
Ces éléments sont essentiels pour adapter la conduite du changement, qu’il s’agisse de sa durée, de la communication ou du degré d’accompagnement nécessaire.
Vient ensuite une étape décisive : le choix de l’architecture et des outils. Pour la réussir, il est essentiel de maintenir un dialogue constant entre les équipes techniques et les équipes métiers, afin d’aligner contraintes opérationnelles et besoins stratégiques.
Plusieurs axes doivent être explorés pour orienter la décision :
Évaluer les solutions disponibles sur le marché et définir des critères de choix. Parmi les plus importants : les coûts, le niveau d’intégration avec le système d’information, la facilité de migration (connecteurs disponibles, retours d’expérience d’autres entreprises), l’ergonomie, ainsi que la rapidité de traitement et d’accès aux données.
Vérifier la compatibilité avec l’existant et le respect des contraintes réglementaires, en particulier autour de la protection des données (RGPD, etc.).
Tester et valider les performances et la scalabilité des outils afin de s’assurer qu’ils accompagneront durablement la croissance de l’entreprise.
Le budget, les délais, la qualité sont des engagements à respecter lors d’un projet. Pour sécuriser ces objectifs il convient de :
Par exemple :
On entre maintenant dans la phase opérationnelle de la migration effective des données/outils. Plusieurs points de vigilance pour le chef de projet à cette étape :
Il est impératif de valider l’ensemble des tests (tests unitaires, tests de performance, tests d’intégrité, tests de non-régression/réconciliation) pour garantir la réussite de la migration.
67% des projets de migration échouent partiellement en raison d’une adoption insuffisante des utilisateurs finaux (source : PwC). Réussir une migration passe donc par l’adhésion des utilisateurs à ce changement.
Il n’y a pas forcément de règle sur le bon moment de faire intervenir les utilisateurs dans cette conduite au changement.
Ils peuvent être embarqués avant, pendant et après le projet pour certains (exemple : les sponsors, le groupe d’ambassadeurs, …) alors que d’autres pourront intervenir pendant et après le projet (exemple : les utilisateurs finaux ou l’équipe support).
Le rôle du chef de projet dans la conduite au changement :
Impliquer les utilisateurs dès le début et en continu en structurant une stratégie adaptée fera que la migration sera acceptée et efficace.
Réussir une migration d’outils, c’est avant tout une question de méthode. Le chef de projet joue un rôle clé pour assurer une transition fluide, limiter les risques et garantir l’adoption des nouveaux systèmes. Mais la réussite passe aussi par l’expertise : faire appel à des spécialistes comme Acelys, c’est s’assurer d’une migration sécurisée, optimisée et parfaitement adaptée à vos enjeux.